A simple Google search says this.
But from my own experience; it’s all about the energy. Shakti (energy) chalan (to move it), is literally like making use of your own breath and certain mudras to exponentially increase your energy and to make use of it.
One thing that’s been constant through the years of doing Shakti is the instant boost of energy it gives, it’s like I am invincible, esp after doing the kapalabhatis, the experience of this life is so different.
And this combined with shoonya meditation, uff, what a powerful combo.
My reflex actions are so good, it’s like I feel I am Spider-Man sometimes 😂🙏🏼
In brief this is my summary of the practice.
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Ce panel à Radio-Canada est franchement sidérant dans ses prémisses implicites. La plupart des propos avancés reposent sur l’idée non formulée que l’objectif à poursuivre est de maximiser le revenu de l’État — comme si l’économie existait pour servir l’appareil gouvernemental.
Or, ce qu’il faut maximiser, c’est la croissance économique. Et les taux d’imposition qui maximisent les revenus de l’État sont généralement supérieurs à ceux qui maximisent la croissance (toutes choses égales par ailleurs, notamment le mix fiscal). Résultat : on maximise les recettes à court terme, mais on freine l’économie à long terme.
Le Canada, d’ailleurs, est clairement au-dessus du seuil optimal de taxation et de taille de l’État pour stimuler la croissance, sans même atteindre le seuil optimal pour “tondre le mouton” au maximum (voir Ref. 1 et 2, images 2 et 3). Les études sérieuses suggèrent que la taille optimale de l’État pour maximiser la croissance se situe entre 30 % et 40 % du PIB. Le Canada est nettement au-delà. Ce constat implique qu’il faut réduire la taille de l’État pour créer l’espace nécessaire à des baisses d’impôts.
La prémisse est donc que tout réduction de la taille de l'État est nocive -- parce qu'elle réduit les revenus. Quelle prémisse folle!
Références:
Ref 1: Schuknecht, L. (2020). Public spending and the role of the state: history, performance, risk and remedies. Cambridge University Press.
Ref 2: Di Matteo, L., & Summerfield, F. (2020). The shifting Scully curve: international evidence from 1871 to 2016. Applied Economics, 52(39), 4263-4283.
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